QUAND L’ORAGE BOURDONNE
En offrant à mes doigts tes superbes rondeurs
Tu laisses le désir décrocher les nuages
En le parant toujours de ces folles couleurs
Qui feront dans mon ciel de sublimes images.
Sur ma couche tu viens bousculer nos ébats
Les caresses seront les armes des combats
Dans le duel des peaux quand le plaisir claironne
Sous le grand baldaquin osons les entrechats
Nous serons conquérants quand l’orage bourdonne.
jc blondel