Pour toi Tonton qui a été "ma muse",
Car venant de toi, tout m'amuse.
"Mon mus", Je ne pouvais dire,
Car cela n'existe pas, à vrai dire.
A toi Debby, en période de migraine,
Ne pas le lire, sinon tu auras de la peine.
Et à toi Teliss, si tu trouve à faire un commentaire,
Je veux bien finir en enfer.
A l'aube du crépuscule
Dans le lointain, tout est si près,
Que j'entends l'odeur de ton regard chanter.
Je sens par mes oreilles la douceur de ton goût.
Le crépuscule du matin couchant est doux.
Et mon coeur ne bâts que parce que je suis vivante.
Et la désespérance du rêve est aujourd'hui riante.
Je ne cesse de compter les minutes qui ne courent plus,
Car l'horloge de l'église ne sonne plus.
Et si demain je partais tout près,
Hier, déjà tu m'aurais retrouvé.
Je suis comme l'oiseau sans nageoire,
Comme un poisson sans mangeoire.
Ma solitude n'a d'égale que le nombre de mes amis,
Et si je suis bien, c'est grâce à mes ennemis.
Car l'amour déteste la haine qui aime,
Que de tout temps, on écrivit des poèmes.
Je peux encore par ce délire conscient,
Continuer d'écrire en m'arrêtant.
Mais qu'est cette poésie, si ce n'est allégorie,
Ou rimes, ou que sais-je, du moment qu'on sourit.