Si l’automne se mariait à l’hiver
Si le printemps aimait l’été
Plus rien ne serait éphémère
Nous sentirions l’Eternité.
Si par delà les frontières
Il n’y avait que l’amitié
Plus rien ne serait éphémère
Nous sentirions l’Eternité.
Si nous dansions sur la terre
Une ronde tendre et chamarrée
Plus rien ne serait éphémère
Nous sentirions l’éternité.
Si tout n’était que lumière
Ô chaud soleil plein de clarté
Plus rien ne serait éphémère
Nous serions dans l’Eternité.