Pauvre de moi, par mes muses, abandonnée,
Mon esprit en est vide et ma plume tarie.
Recluse volontaire pendant trop d'années,
Mon jardin est aride et ses fleurs flétries
Alors, je viens ici, abeille butineuse,
Respirer vos écrits, vos pensées heureuses
J'espère y trouver la force d'avancer, une onde pure où abreuver mon âme.
Et, par le doux nectar de vos mots enchantés, ranimer ma vie en oubliant les drames.