On sent beaucoup de tristesse dans ce poème sibyllin, peut-être de quelqu'un épris de liberté, parce qu'enfermé dans un environnement et des activités insipides, comme dans le poème célèbre de Jacques Prévert du même nom (Le temps perdu) où il se moque des travailleurs à qui manque la lumière parce qu’ils sont à l’intérieur, et parce qu'ils sont emprisonnés dans des tâches sans intérêt.