Certains moments, je prends tout mon temps
Je me persuade de ton agonie
Alors que de brusques s'ouvrent la nuit,
Ses terribles et pires insomnies.
Arrête
Arrête
J'aime tellement te regarder
J'aime tellement te faire mal
Et te traquer comme un animal
J'adore simplement te blesser
Arrête
Arrête
Mais je ne pourrai jamais te tuer
Se résigner puisque c'est ainsi
Juste écouter les jours qui s'enfuient
Y divaguer et ne pas lutter
Continue
Continue
Dans l'univers glacé le vent m'emporte
Et je te saccage
Je burine chacun de tes traits que j'arrache
Pour assouvir ma rage
Effroyables hurlements.