Le jour ou tu as ouvert les yeux, ce fut mon printemps.
Tu as poussé en harmonie avec la nature et les fleurs ont accompagné ta métamotphose.
J'ai cueilli les fruits de ton amour et toute la tendresse de tes jeunes années.
L'adolescence s'est annoncée avec toute sa chaleur et ses besoins.
Tes cheveux blonds et ta peau ambrée ont pris toutes les couleurs de l'été.
Ta silouhette s'est habillée de rondeurs et de courbes, pareille à une rose.
Ton automne n'est pas encore arrivé, profite de tes vingt ans,
Et crois-mois, la nature fait si bien les choses,
Que toi aussi, pour un enfant, tu connaîtras la joie d'aimer.
Tu vois, j'ai voulu t'écrire cela, à l'aube de mon hiver,
Pour que tu te rappelles, en lisant ces lignes, que tu as été les quatre saisons de mon univers.