Le torrent mêle du sang à ses eaux cristallines
Le feu ardent s’étend embrasant la colline
Le volcan se réveille, vomissant ses entrailles
Les roues du wagon hurlent avant qu’il ne déraille,
J’enrage
La nuit d’encre s’éclaire d’un superbe arc en ciel
L’océan en furie remet en place ses chaines
Le cyclone exangue se voit crever son œil
Elle s’endort dans son lit l’eau qui noyait la plaine,
Je m’apaise
Tes yeux bleus si profonds me transpercent le cœur
Jamais je n’oublierai nos instants de bonheur
Ton sourire, ton amour sont un gage éternel
Ton âme présente en moi t’a rendue immortelle,
Je t’aime