Hôtel particulier (fin)
Je m’en vais vous aimer comme aucun ne le fit
Donner à votre corps tout comme à votre esprit.
L’envie de me revoir et de m’aimer aussi
Prenons donc ce plaisir puisqu’il nous est acquis.
Votre corps est d’albâtre et de lui je suis fou
Je ne sais belle Dame ce que sera demain
Mais je vais vous aimer jusqu’au petit matin
Sans jamais me lasser de votre corps si doux.
-Aimez moi mon ami, prenez moi je vous prie
Faites moi découvrir de vos mains poétiques,
Ce que je vous offre et que ce soir j’abdique ;
Aimez moi mon ami car de vous j’ai envie.
Du crépuscule à l’aube je serai cet amant,
Dont vous rêviez souvent en vos songes érotiques.
Laissez moi déposer sur vos lèvres magiques,
Un baiser de velours remplis de vos tourments.
Je sens monter en vous les laves du Vésuve
Et vos gémissements me donnent à penser
Que cette jouissance s’en va vous emporter
Au pinacle des Dieux, d’Eros si je m’abuse.
Oh ! Monsieur c’est si bon de vous sentir en moi
Serrez moi dans vos bras, je veux vous ressentir
Dans un dernier soupir, allez me faire jouir
Je vous en prie Monsieur ! Ne vous retenez pas !!.
Madame ! Est ce possible de joindre en cette union
Et réunir nos corps en un doux diapason.
Laissez vous donc aller, dans cet acte passion,
Cet amour qui nous prend à perde la raison.
Dieu que vous êtes belle Madame après l’amour,
Je vois dans vos beaux yeux une douce tendresse.
Votre cœur bat pour moi et le mien d’allégresse
Désire votre corps encor plus chaque jour.
Le loup 03.03.08