Solitude
Tout bouge sans jamais s’arrêter,
Les bruits s’accélèrent et continuent
A inonder ce monde de bruit cru
Sans qu’on puisse les éviter.
Tu bouges sans jamais t’arrêter,
Tu fais du bruit et tu continues
A inonder notre mode de bruit nu
Sans qu’on puisse t’en empêcher.
Alors que j’essaie de me montrer,
De voir si je peux me mettre à nu,
Voir si tout simplement je t’ai ému,
Mais tout ceci ne semble pas marcher.
Dans ton beau monde si animé,
Toi qui sembles si occupé et tendu,
J’ai l’impression de n’être jamais vu
Et malgré ton avis, je ne semble exister.